Page 183

Lilium canadense L. (11 mars 1870)
La fig. A, faite d'après nature. [crossed out: le 11 mars] représente la portion
souterraine d'un pied qui a fleuri l'année précédente a partie
infèr. sèche et morte de la tige qui a fleuri. De sa portion immèdt.
supér. au vieil oignon b partent quantile de racin., r, r, r, maintenement
mortes et sèches. Les écail. du viel oignon b sont, pour la plupart
encore fraîches. Au dessous de l'oignon se prolonge en t l'extrém.
tronquée et élargie de la tige-mère qui, un peu pl. haut, porte les
écail. de l'oignon de l'au denier. C'est de cette vieil. portion detige
que port lateralt. et immédt. au-dessous de l'oignon b, le rameau c
qui, à son extrém. libre, forme le nouvel oignon b'. Ce rameau porte
dans sa longueur quelq. écail. espacées e e e; puis [crossed out: illegible] extrém. ces
mêmes petites écail. épais. et charmes deviem. plus nombr., plus
rapprochées pour commencer l'oignon, et passeut graduelt. aux vèri
tables écail. de la bulbe. Ces écail. sont fort épais; courtes, obtuses ou
subaigues — La fig. B [added: aussi d'après nature] montre la trouat de la vieille tige-
mère avec le rameau latéral et la nouvelle bulbe, le tout vu
par dessous. Elle montre aussi que del [illegible] des écail. infèr. de
la nouvelle bulbe partent les racines nouvelles, dont q.q.u. r' r'
naissent aussi du rameau lui-même, sans écail. axillante.