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Tun ou, tun'ne , m. f. Tien ; au f. tun'ne tienne, adj. poss.
L', ou lou tun'ne, Le tien, ete.
Turlutainne, 1º Orgue de barbarie, serinette ; 2° Personne qui se laisse facilement influencer par le monde.
Tus, m. et f. pl., tous, toutes. Voy, tout ; à vieilli à Ch.
Tuta-yie, (Tutoyer* le contr. est Vouesa yie ; voy. Tutar yie, à Chalonvillars.
T. yaignô, autre orth. de tiaignó.
T yait yi, forme de Catherine, ou mouillage de Caqui.
Et d'autres mots commençant par T'y qui sont placés à son homologue mouillé, Ti.
T yechignot, [Coussinet) sur le dos d'un cheval attelé à un tombereau (Exine.). Se dit Selle à Paris, ou cet organe plus compliqué rappelle = une selle de cavalier.
T yelde, [Couleur*, arch.
T yemena, Communal (Terrain). Cumenaille. I, dit forêt commun. Bermont, Dorans, fr. cad. (Stoll). En 1678, La Guemenelle (bois de chènes) Dorans (1).
T-yemenâtaie, communauté = les gens de la commune.
È farait l'dietrure de tryèmenalaie ; trad. libre : il faudrait le lyncher, au nom et entre gens de la commune.
T-yēmataie, se trouve en ancien fr. Bf. sous la forme de commun, ou commung, cong. (2).
T-yemin dis prais, [Cumin des prés*, Carvi (Angeot), voy.
Siso.
Tyënn liere, Cunelières, vge TBf. à pat. aj., aussi y trouve-t-on les n. pr. aj. Mercelat, Guérital, Joliat. Les seribes autrichiens croyant voir le mot cuillère, ont traduit le n. de notre village en Loffeldorf.
T-yenon ye, Quenouille. Corongne, à Auxelles.
T yenon yie, s. f. Quenouillée.
T-yenon yates, s.f. pl. Espèce d'étagère carrée, formée de chaque coté du carré de deux rangs superposés de batons tournés, passés dans 4 supports fixés au plafond ou au plancher du haut, et au-dessus du poële, destinés à suspendre les grands écheveaux de fil, et à sécher le linge. B.-Lat. Conucula (de colus) quenouille).
(1) Coutumes de l'Assize, Thomas Chardouillet, grand maire (Bonvalt).
(2) a Composit, du
Magistrat en
Viroa, maitre bourgeois... Pierre
Noblat, maitre du commun ». Soc. E, BF. Ball, 18, p. 94, H. Bardy