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C.xi.

ne aux vertus che bien vient de nostre seigneur Et
se il se encline au mal faire che le trait en fin a doler
et a paine perpetuelle. Jamais le mauvaiz ne dira
riens de bien de che dont il ne poeut gaires savoir il
nest nulle art qui bonne ne soit a savoir quant lom
me si adonne. mais que il ne faice chose envers dieu
dont il perde sa grace. Len scet tout par astronomie
fors che que dieu ne veult pas que len sache. Sil la vaul
droit mieulx aprendre que de apprendre celle dont len
amasse les grans tresors. Et qui astronomie sauroit
bien proprement il auroit tout che quil vouldroit en
terre. Car il ne lui fauldroit ja nulles choses quelconcques
que ancores il nen eust plus. mais ilz ont plus chier la
pecune. Et si ne scevent que cest de astronomie ne pour
quoy elle fut trouvee. combien que ilz y applicquent
tout leur entendement. mais ilz nont cure daprendre
fors che quilz scevent qui redondera a leur singulier prof
fit. Et pour tant ne lairons nous pas que nous nen
recitons aulcuns cas pour ceulx qui ont talent dapren
dre si le escoute qui entendre le vouldra. Chi declaire
pour quoy les monnoies furent establis

Notes and Questions

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Marie Richards

original ms. Folio 111r
Walters ms. Folio 116r
BL Royal MS 19 A IX fols 130r-v
Caxton, ed. Prior, pp 161-162
Gossuin, ed. Prior, 186-187