[Collection of manuscript notes, drawings, and photographs on lilies]. 1870-1880.

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Research notes, drawings, manuscripts, photographs, 1 reprint article and 1 seed packet relating to the cultivation of lilies, dated principally between 1870 and 1880. Pierre Étienne Simon Duchartre was a French botanist and one of the founders, in 1854, of the Botanical Society of France. The Asian species of lily, Lilium duchartrei is named after him. Three envelopes contain Duchartre's notes on the germination of a number of varieties of lilies along with illustrative pencil drawings. Included with these notes are undated black and white photographs of lilies along with persons involved in their cultivation, with the stamp of Alfred Unger on the back. Also included are 1 partially illegible letter addressed to Monsieur Abbe Souillet from Alfred Unger dated November 1936 and 1 packet of lily seeds dated Oct. 6, 1878. To accompany one manuscript is the reprint of an article by Duchartre which appeared in the Journal de la Societe centrale d'Horticulture de France in 1872 titled, "Observations sur la structure et la multiplication par carieux de l'oignon du Lilium thomsonianum (Lindl.)."

Date Original: 1870-1880
Type: Text; Image
Time Period: 1870s (1870-1879); 1880s (1880-1889);
Language: fre;
Source: Rare QK495.L72D83
Repository: Illinois Digital Archives
Lenhardt Library of the Chicago Botanic Garden catalog record for this work is available here.

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de lui, les 8 lateraux ayant au plus 0m004 de long. D'un autre côté, aucun caïeu des écail. 6,7 n'a pris notablt. l'ovance sur ses voisins autrement q. par un décroist. graduel du milieu de l'écaille vers ses bords. — Ainsi, en somme, c'est sur la nervure médiane q. l'accroist. est la pl. rapide, et il va diminuant de là vers les bords. — Une autre particul. à remarquer, c'est q., sur l'écail. 6, les caïeux s'attachent jusqu'a 0m011 [added: de distance] au-dessus de l'attache de l'écaille; par consequen très-haut.

Fig. 18. Coupe transv. du caïeu b de la fig. 16, menée sers le milieu de sa hauteur. Sous sa tunique côtelée, il ne montre q. 3 écail. charmes, épais., dont l'interne encore petite.

Fig. 19. Base de la masse des 7 feuil. vertes côtelées et blanches dans cette portion renflée qui deviendra les [added: tuniques brunes du] nouvel oignon. Le tout pris dans l'oignon qui formait le 2e. échantil. envoyé le 7 mars 1872. Cette portion infér. [added: des tenilles] est renflée, mais à peine épaissie car elle a tout au plus 0m001 d'épaiss., le limbe ayant 1/2 de cette épaiss. sur sa ligne médiane

Fig. 20. Base de la fuille verte 7 la plus interne, quiet longue de 0m07, et qui, ayant ses bords rapprochés en tube peu au-dessus de sa base dilatée, c. à d. en a, sur une long. de 7-8 millim., s'evase plus haut graduelt. en gouttière. Sa base blanche, très-dilatée, b, n'embrasse q. 1/2 circonf., l'autre demi circonf. étant occupée par les écail. charmes centrales, dont 2, c et d, font saillie à travers son ouverture. Cette base b, lisse et luisante, est proportt. plus épaissie que pour les feuil. plus externes, puisqu'elle a environ 0m001. Cette masse centrale me semble n'être pas autre chose que les écailles nourricières de l'oignon nouveau. En effet [crossed out: illegible] j'en enlève successt. 8, toutes fortem. concaves, toutes charmes, épaisses, dont les 4 ou 5 exter. ont déjà 0m0015 d'épais., quoiq. [illegible] longueur ne soit que de 0m0085 pour d ou la 2e. qui est la pl. haute. Entre la 6e. et la 7e. il y a une différ. notable et busque de grandeur: 6e. = 0m006 de long.; 7e.=seult. 0m003; la 8e. est longue seult. de 0m007; après quoi il y en a encore 3 autour d'une [added: tout] petite mamelon centrale [added: à peine marqué] qui sont [crossed out: illegible] très-petites. Je crois que ce sont les [crossed out: 6 au] 6 ou 7 premières qui deviendr. les écailles nourricières, bulbillifères; elles en ont déjà la forme concave, ovale-deltoide, dans le contour général; de plus elles sont d'autant pl. étroites qu'elles sont plus internes enfin charme montre, sur sa coupe transvers. 7 nervures, tandis q. la base tuméfié des feuil. vertes, outre qu'elle est beauc. plus mince, même de manière absolue, embrasse une plus grande partie de la circonf. et offre [crossed out: illegible] autant de nervures que de côtes saillantes à l'extérieur, c. à d. 15-17 pour les externes et encore 11 pour l'avant dernière, ou celle qui vient avant ab, fig. 20. Du reste, comme la fig. 1 montre quelle longueur atteign. les écail. brunes externes de l'oignon formé, qu'on les voit déchirées à l'extrém. supér., où elles se termin. eu lanières déchirées, reste évident du limbe vert d'une feuille; que de plus les écail. nourricières s'epuisent et perdent toute consistance, à mesure que les caïeux se développent, [crossed out: illegible] leur flaccidité et leur duollesse amonçant qu'elles tendent à disparaître, je crois, contrairt. à l'opinion de Leichtlin (in litl.), q. ce ne sout pas les feuil. vertes qui forment le nouvel oignon, mais bien les petites écailles charmes internes, et que celles des feuil. vertes qui ne se détruisent pas forment les [crossed out: tuni] écailles brunes côtelées.

III. 23. 7

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Lilium Thomsonianum Lindl.

Un très-fort oignon probabt. prêt à fleurir m'est envoyé par Mr. Leichtlin, le 23 mai 1872; je le reçois le 24 mai

Cet oignon a d'épaisseur, dans un sens 0m049, dans le sens perpendicul. au 1er. 0m037; de hauteur = 0m057, à partir de la base même des écailles c. à d. du haut du plateau. Il est donc notablt. comprimé, absolument comme s'il avait été séparé d'un pareil contre lequel il aurait été appliqué par un face presque plane. Vu d'en haut, il aurait le contour ci-contre [crossed out: illegible], sur lequel j'indique la situat. relative et la longeur des grandes écailles brunes multinervées, come ou les voit de dehors sur l'oignon entier, par conséquent sans q. leur ordre spiral puisse être exactt. recomm. On voit cepend. très-bien q. le grossisst. les ayant probabt. [crossed out: illegible] repoussées davantage vers le côté convexe, c'est ce côté qu'elles recouvrant le mieux par leur superposit.; au contr., vers le côté concave, elles sont assez obliqt. dirigées et assez peu imbriquées pour laisser à nu l'une des écail. nourricières sur les 2/3 de la bande médiane de cette face. [left margin: sketch] Sur ces 7 écailles brunes et sèches, l'exter. est large, au maximum, de 0m028, à 11 nervures, déchirée au bord supér. très-irrégulier q. lui a fait la destruction inegale de presq. toute sa moitié supér. La 2e., b, est beauc. plus large (=0m055), à 19 nervur., également brune [added: foncée] et sèche, détruite sur une grande portion de son milieu; mais elle a encore 2 bandes marginales inégal., s'etendant jusqu'à la base du limbe, et séparées par le vide qu'a fait la désorganisat. de la portion moyenne. Le limbe y manque entièrt. ainsi qu'à l'écaille c. Quant aux 4 autr. pl. internes, elles sont plus minces, plus ou m. membran. entre les nervures et toutes quatre conservent à leur extrém. le limbe foliaire évidemt. mort, plus ou m. bruni, mais encore continu avec elle et sample. J'ignore comment il était quand l'oignon a été arracher; mais [illegible] il me paraît certain que ces feuil. devaient être en partie détruites, car elles n'ont pas l'air d'avoir été coupéer, mais bien de s'être détruites spontant. C a 15 nervures et 0m054 de largeur maximum. Fig. A a, [illegible] desséchés [crossed out: illegible] [added: d'une fleur qui s'est développée à l'aisselle de l'une des grandes écailles charmes] b, b', extrém. de 2 écail. nourricières — f''', fIV, fV, fVI, portion basilaire sèche et plus ou moins décomposée du limbe des 4 feuilles les plus internes on voit que fIV s'est rompre déjà transverst., et va perdre même la seule portion de son limbe qu'elle ent conservée jusqu'à ce moment.

1e. écaile-feuil. a = 0m028 de large, avec 11 côtes et nervures; sa partie supér. a disparu; d'où elle est irrég. tronquée et lacérée au haut. c'est f. fig. A et a ci-dessuss

2e. id. b = 0m055 avec 19 côtes ou nerv.; portion moyenne détruite. Limbe disparu ce'est f' fig. A, b ci-dessus

3e. id. c = 0m052, avec 17 côtes-couleur d'un brun plus pâle; epiderme interne çà et là décollé, lustré, comme argenté reste du limbe sec, tenant encore c'est f''', fig. A

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4e. id. = 0m045 avec 15 côtes = brun pâle dans le bas-nullement déchirée, mais sans restes du limbe. C'est f'', fig. A et e ci-derrière. Epider. interne eu assez grande partie détache, argenté, faisant pelure d'oignon.

5e. id. = 0m052 avec 17 nerv., reste du limbe continu au sommet, mince [illegible] pâle, comme les 2 précéd. C'est fVI fig. A, d ci-derrière.

6e. id. = 0m039, avec 15 côtes [illegible] pronconcées qu'aux préced., membra plus mince et moins sèche, couleur pâle, presq. fauve, et reste du limbe pres de tomber; c'est fIV fig. A, g ci-derrière. Epider. inter. comme précedt.

7e. id. = 0m025, avec 11 côtes, subst. papyracée, brun clair, et reste de limbe au sommet. C'est fV fig. A et f ci-derrière. Elle embrasse l'angle gauche de l'oignon.

Ces écailles sèches enlevées, tout le reste de l'oignon n'est composé que d'écail. charnues, épaisses, de couleur blanc-jaunâtre, dont aucune ne manifeste la moindre tendance à se développer en feuille verte. Ces écail. sont nombreuses, et aucune ne présente le moindre indice de caïeu épiphylle. Il est à. p. p. certain que ce changement profond dans l'état normal de la bulbe a été déterminé par la suppression des caïeux épiphylles faite artifict. et de bonne heure, selon la pratique de M. Leichtlin. L'ordre spiral lui-même a été altéré et il nes est plus possible de le reconnaître au-delà des 5 ou 6 1eres dont la situat. relat. est indiquée sur la diagramme ci-derrière, par les chiffres 1, 2, 3, 4, 5, 6. L'écail. charnu 1 est la pl. grande, largeur = 0m055, long. = 0m064, épais. maxim. = 0m006, avec 9 nervures sommet [illegible]

2 = 0m036 larg., 0m057 long., épaiss = 0m006. sommet sphacelé [added: 7 nervur.]

3 = 0m046 larg., 0m054 long., épaiss. = 0m007 sommet id.

L'épaiss. maximum se trouve à une sorte de carène à p. p. médiane eu saillie var la face interne. - 7 nervures.

4 est étroite, fortem. ployée en carène, large, au total de 0m034, long. de 0m060, à 7 nervures épaiss. = 0m007.

5 = 0m030 largeur, = 0m060 long, épaiss. = 0m0065, étalée.

À partir de l'écaille 6, toutes sont etroits, plus ou m. fortemt. ployées en gouttière, génért. avec l'un des 2 bords presque doublé ou même entiert. doublé sur lui-même; nervur. souvent réduites à 5, de long. presq. égale, jusqu'à la 15e. qui a 0m017 de larg., 0m045 de long., dont les 2 bords minces sont à angle droit sur une portion moyennee épaisse et à p. p. plane, d'où une gouttière très-prononcée, comme le contre la coupe ci-contre. Celle-ci a de lorg. totale dévelop. 0m017. Celle-ci n'a q. 5 nervur. Le décroisst. devient des lors rapide: la 5e. au delà c. à. d. la 20e. n'a q. 0m015 de long.; 22e. = 0m006. Celle-ci est la 1e. de ce qui'ou [added: peut] appeler le bourg. terminal

[left margin: sketch]

Dans ce bourg. terminal, que la fig B représente entier vu par en haut, j'enléve successt., sous le microsc. à dissection, un douzaine d'écail. charnues, ovales pl. ou m. raccourcies de pl. en pl. petites, jusqu'au sommet nou proéminent de l'axe où les dernières écailles encore naissantes sont à peine visibles; le tout est surbaissé et nulle part je ne vois le moindre vestige d'une tige prêre à partir. Je regarde donc comme certain que, contrairt. à ce q. peusait M. Leichtlin, cet oignon n'allait par fleurir; du moins rien n'accuse en lui cette disposition. seult. rien nou plus n'y montre la remaquable succession d'écail. nourricières et de fuil. normales q. j'avais vue dans tous les autres sujets. La suppression de caïeux épiphylles a donné lieu à la

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2. Lil. Thomson. Oignon reçu le 14 juin 1872.

c'est à l'aisselle de la pl. externe des feuil. normales, encensement décomposée et séchée, qu' [illegible] s'est développée la tige qui est restée sterile. Elle n'était qu'une pousse latérale secondaire par conséquent; car la vraie tige est vraiment un axe central et terminal, comme le montre la suite de la dissection. Même le rameau latéral a été comme entraîné par l'allongt. de la tige, de sorte qu'il est reste adhérent et confluet avec celle-ci sur une longueur de 0m013 au-dessus de la base de la feuille à l'aisselle de laquelle il est né.

Fig. F. Portion infér. encore toute fraîche de la tige qui vient de fleurir. On voit que c'est un axe terminal, très-développe; qu'il surmonte le plateau ou axe basilaire où restent les bases des écailles nourricières et des feuil. qui ont été coupées. On voit que ces feuilles sont à peu près toutes caulinaires; et s'échelonnement le long de la tige, d'abord rapprochées à sa base, puis de plus en plus espacées jusqu'aux trois qui ont été signalées plus haut comme passant graduelt. cicelles de l'aisselle des quelles sortent les fleurs aujourd hui remplacées par des capsules. Ainsi il est écident qui'il ne serait absolument rien resté de cet oignon, puisqu'il n'y a pas de caïeu, et que tout, dans l'oignon lui-même est eu grande partie mort ou en voie de perir. Cette tige est fistuleuse, comme le montre la figure, par la section, et comme je le vois surtout en la fendant dans toute sa longueur sa cavité centrale, large de 0m003 sur un diam. total de 0m010 à la tige, est parfaitt. contnue et égale sur toute sa longueur. Au contr., le remceau latéral et sterile est plein et d'un tissu très-ferme.

Fig. G. capsule entière avec sa bractée sèche ou à peu près. Elle est à p. p. mûre, verte en grande partie ponctuée de rouge comme eu glais. Long. = 0m022; ses 3 angles sont abtus, avec un petit sillon longitudinal à l'angle même. Les 3 capsul. sont de même forme, peu rétrécies à la base, fortement ombiliquées au sommet, comme le montre nettement la coupe longitud. du haut de la même capsule, fig. H

Fig. I. Coupe transcersale de la même capsule menée vers le milieu de sa hauteur. On voit qu'il y a un vide central triangulaire et que de plus les 3 épaisses cloisons entre les loges sont disloquées-creusées irrégult. dans le milieu de leur épaisseur; je ne vois là qu'une laune irrégul., avec faisses-cloisons [added incomplétes,] celluleuses et très-irrégul., bien qu'ayant une direct. générale transversale lesquelles indiquent nettement une déchirure du tissu cellul. primitif. Probabt. ce sont les glandes septales de l'ovaise qui ont été déchirées par l'effect de l'accroissement des parties plus externes. La [illegible] résulté un tissue presque aranéeux. Les graines, encore incomplétt. dévelopées, sont emplées en grand nombre et sure deux files, comme le montre la fig. H.

Fig. J. Une de ces graines entière vue par dessus et K coupe transversale de la même. La seule portion dont le tissu soit un peu ferme et légèrt verdâtre est [illegible] une bande qui longe le côté rectiligne de la graine Tout le reste est un tissu cellul. blanc, très-lâche et fort mou

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format. de nombr. écail. charnues nourricières, beaucoup plus nombr. que de coutume, puis que j'eu ai compté 34, jusqu'aux naissantes dont je n'ai par cru nécessaire de faire le relevé. En outre, je n'ai pas vu m seul caïeu épiphylle. J'ai vu seult. 3 caïeux venus à l'aisselle d'antant d'entre les grandes écailles charnues. [crossed out illegible] [crossed out: illegible] [crossed out: illegible] sur un rang plus [added: ou moins] interne, formant chacun une petite masse chanue, blanc-jaunâtre, sumontée d'un ou deux petits prolongem. desséchés et presq. informes pour ce motif.

Tout le [crossed out: sommet] [added: bout] de l'axe fondamental, sur les flancs duquel s'attachent les plus grandes écailles, [crossed out: et dont] forme une plate forme circul., large de 0m01, qui porte [crossed out: le plus [illegible] ] toutes les écailles encore peu développées, et dont le centre est absolument au même niveau que la pérpiphérie.

Cette bulbe a donné, à l'aisselle d'une des grandes écailles externes, une fleur isolée, à laquelle a succédé la jeune capsule claviforme que représente sur sou pédoncule la fig. C. à la base de ce pédoncule se trouve la bractée solit. et un peu latérale à droite b, lancéolée, aigüe, rétrécie à la base. Cette bractée est donc placée asymtétriqt. tandisq. la jeune capsule a sa [illegible] impaise placée régulièrt. sur la ligne médiane externe. Cette jeune caps. était coiffée des restes desséchés et déformés du périanthe, qu'on voit saillir quelq. peu de l'oignon. en a [added: fig. A]. Le pédonc. cylindriq., est simple, marqué au sommet de cicatrices [illegible] peu brunât., indiquant l'insert. des organes floraux. La capsule est attachée obliqt. à l'extrém. du pédonc.

D. Coupe transv. de cet ovai. fécondé.

E. L'un de ses ovules anatropes en place.

Lilium Thomsonianum. Bulbe portant un tige terminée par 3 capsules et une autre qui a fleuri sans nouer san fruit, car elle est verte à sa base, mais sèche et nue dans toute sa portion supérieure. Elle niest envoyée par [M. Leichtlin]]. Je la rećois le 14 juin 1872

La tige fructifère est haute de 0m43 en tout. Elle porte une capsule devenue terminale par l'atrophie de sa sommité réelle qui reste à côté [illegible] son court pédicule, sous la forme d'une petite pointe verte, longue de 0m002 [illegible] 2 bractées linéaires et inégales, sèches. L'autre tige restée sterile dépasse la bulbe de 0m30.

La tige fertile, épaisse au maximum de 0m003 seulement, mais ferme et roide, est verdâtre infért. [added: lavée de] rouge [crossed out: illegible] pourpre clair dans [illegible] moitié supérieure. À partir de sa base, elle porte: à 0m04 de hauteur, une feuille linéaire, sèche, longue de 0m11, embrassante par sa base élargie qui en embrasse au moins les 3/4; à 0m04 plus haut une 2e. feuille linéaire, pres que opposée à la première, longue de 0m07, moins [illegible]

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