[Collection of manuscript notes, drawings, and photographs on lilies]. 1870-1880.

puis qu'elle en embrasse au plus la 1/2 à 0m058 plus haut, une 3e. feuille linéaire, longue seult. de 0m05 et égalt. embrassante à moitié. Chaque fleur se trouve à l'aisselle d'une bractée de même forme que ces feuil., linéaire et presque 1.2 amplexicaule l'infér. longue d'environ 0m04, et les 2 autres de plus en plus courtes. La distance de l'une à l'autre des caps. est de 0m04; la distance entre la feuille la pl. haute et la caps. infér. est ainsi de 0m10 ou un peu plus.

[crossed out: Le seul fait de l'exist de 2 tiges sur le même oignon prouve que les tiges florifères sont latérales; cela pouvait résult. aussi de l'état de l'oignon reçu le 24 mai, bien que sa petite tige uniflore [illegible] fût qu'un avorton] (voir plus loin, feuillet 2)

L'oignon entier est épais de 0m033, haut d'environ 0m058. Il est couvert d'écail. brunes côtelées, lâches et pl. ou m. [illegible] ou déchirés, mais plutôt flasques et moller que sèches. Entre ces écailles sortent çà et là des racin. assendantes, [illegible] rameuses sur leurs côtés, dont certains montent verticalt. dans toute leur long., jusqu'audessus de l'oignon, sur une long. de 0m10, tandis q. d'autres se recomb. et s'étalent ou descend. [crossed out: illegible] quand elles ont dépassé l'oignon. Ces racines ascend. sont assez nombr.: devant une seule écail. brune j'en compte une douzaine rangées devant toute sa largeur. Il reste seulement 4 de ces écail. brunes formées par les bases élargies des feuil. vertes; après quoi viement les écail. nourric. déjà plus ou moins ridées, comme flétries brunies [illegible] leur 1/2 supér., la plus sèches au sommet qui est nettent accuminé et ne s'est évidemt. jamias prongé en limbe — Il y a 14 de ces écail. nourricières, toutes sans caïeux, à sommet accuminé, nou prolongé en limbe (et par conséq. sans cicatr. termin.); mais elles sont pl. étroites q. dans la plupart des cas précédents. Ainsi la 1e. = 0m029 larg. sur 0m075, avec 9 côtes d'autant pl. prononcées (cas général ià) q. le tissu interméd. aux nervuers est affaisse, comme épaisé par le dévelop. 2e. = 0m027 sur [illegible] [added: (9 nervures)] nobabt. égale à la précéd.; mais l'extrém. s'est décomposée. — 3e. = 0m025 sur 0m072 avec 7 nervures. 4e. = 0m021 sur 0m020, 7 nervures. Sa subst. est moins altérée, pl. épais. et pl ferme, moins longuement brunie, plus fraîche au total. 5e. = 0m029 sur 0m070; 7 nervures brunie seult. ven le sommet, sur faible long. ainsi q. les suivantes qui devien. de pl. eu pl. étroites et minces, jusqu'à la 14e. qui = = 0m014 sur 0m006, à 7 nervures et qui est mince, à. p. p. membraneuse. de même q. la 13e., les antér. étant sensiblt. plus épais [illegible] leur portion moyenne, toutes à 7 nervures.

En dedans de ces 14 écail. nourric. se trouve un faisceau de fuilles à limbe normal, déjà mortes, brunies, sèches ou décomposées pour la plupart, mais dont les internes sont encore vertes et fraîches dans leur portion infér.

III.24.1

[left margin: 24 7bre. 1872]

Lilium Thunbergianum fulgens (L. fulgens Hort.)

Les nombr. oignon de cette plante que M. Krelage m'avait envoyés, en novembre 1871, sous des noms ou des numéros différents, m'ont donné, en 1872, des plantes entre les quelles je n'ai pu observer généralt. de différences bien appréciables. Ce Lis ressemble butierement au vrai Thunbergianum pour la multiplicat. De même autour de sa tige florifère, il donne, dans l'année, 2-3 oignons nouveaux qui fleuriront l'année suivante. Seulement ces oignon sont plus gros q. dans la généralité des Thunbergian., égalt. blancs, obtus, et un peu pl. larges que haute, à écailles [added: illegible] larges appliquées. De plus, il y a une tendance très-accusée à produire des caïeux, soit à l'aisselle des vieilles écailles externes qui souvent, en se détruisant les laissent libres dans la profondeur de la terre, au point qu'on en comprendrait difficilt. l'origine sans une observat. attentive et par degrés, soit sur la portion enterrée de la tige qui en porte presque toujours. Les caïeux axillaires sont q. q. f. très-nombreux; j'eu ai trouvé 12 jeûne une fois 15 qui, pour la plupart, tenaient encore à l'écaille sur la base de laquelle ils s'étaient produits. Je crois d'après mes observations sur plusieurs espèces (L. pardalinum, canadense, Lilium superbum, [added: longifl. ], Takesima, Thunberg. et Thunberg.-fulgens, &c.) q. génért. les caïeux sont nou pas réellt. axill., mais réellt. épiphylles, venant sur la base même (Et sur un côté) d'une écaille q. son grossisst. fait détacher, et qui l'emporte avec elle. Cependant il y eu a aussi de vraiment axill., sans la moindre adhérence avec une écaille quelongue.

Un fait curieux s'est offert chez le Thunb. fulgens, no. 150 de Krelage. Un oignon s'étant trouvé place (sans doute par inattention ou tassement du sol, à p. p. renversé, sa tige s'est développée obliqt. vers le bas, puis a fait un crochet pour se relever dans une direct. égalt. oblique — à l'arrachage, je vois que toute cette portion enterrée, longue de 0m016, est très-abondant. chargée de racines généralt. fasciculées, sans doute à la place qu'auraient dû occuper les feuilles. À chacun de ces faisceaux, qui rémissent chacun beaucoup de racines, se trouve un caïeu. Ces caïeux sont devenus beauc. pl. gros q. d'ordin., au point q. la plupart = 0m02 de long. J'en compte 10, et peut-être en est il tombé à l'arrachage, quoiqu'il ait été fait avec soin. Un autre fait à noter c'est que tous sont dirigés vers la base de cette tige, même sur sa portion remontante (sauf un qui est horizontal). De là dans la portion A B qui plonge, leur sommet regarde la surface du sol, tandis que sur B C, qui se reteve, et qui en porte 5 comme A B, ilspointent plus ou m. en bas

[left margin: [sketch] Direct. de cette tige.]

Lilium candidum L. 18 mar. 1870.

Fig. 1 [pencil sketch] un peu grossi un peu grossi

Extrém. de pl. en pl- foliacées et minces des écail. internes. Elles sont verdât., tandis q. [illegible] de leur face exter. est blanc rosé.

Fig. 2 [pencil sketches] La pl. inter. des écail. minces et verdât. au sommet A entière, de 3/4 B coupée longitt. par sa ligne médiane pour montrer en a, [illegible] épaiss., dans toute sa long.

Après ces écail. de transit. impart. commec. brusqt. les vraies feuil. f., à base blanche et charnue, se fondant graduelt. avec le limbe vert et long d'envir. 0m15 ou plus. Il y en a 8 à fort peu près égales entre elles. Immédt. en dedans de cette roset. de feuil. normales se trouvent les 5 petites écail. [added: (fig. 3)] blanches ec., ec., ec., dont la pl. longue est ec., qui sont minces presq. portont, mais épaissies au bas et qui s'attach. cou sommet du cône axile, a. Enfin du centre de cos petites écail. part la tige florif., qui commence par un entre naud nu sur

[pencil sketch] fig. 3.

une longueur de 0m005, et q. surmonte une petite feuille à peine M. longue que ec., mais déjà vertesâte dans san 1/4 supér. Puis la feuille opposée à celle-ci [illegible] son attache de 2mm. pl. haut et déjà vert pale dans plus de la 1/2 de sa long. Quis succest. les autres ramassées en cône serré et encore n'ayant guère plus de longuer Les feuil. un peu plus internes forment au sommet un petit cône, et ces cônes s'emboîtent de dehors en dedans. J'en compte une douzaine jusqu'au plus central qui occupe le sommet de la jeune tige longue seult. de 0m016 environ.

Cette bulbe était restée à l'air et à la lumière depuis près d'un au, sur la terre d'un pot où elle s'était même enracinée. Elle avait très bien poussé.

[illegible] du 10 Fevrier 1870

Lilium. Chez Lil. Martag. et bulbifer., il y a des racin. dans le bas de la tige florif. (Irmisch). Faise ressortir l'abord. et le dévelop. de ces racin. du bas de la tige, chez plus. espèces, surt. L. speciosum. Id. chez Thunberg. fulgens.

Voir mes observ. sur Lil. Thomsonianum.

M. Leichtlin me signale dans sa lettre du 28 octob. 1871, ce fait q. chez L. polyphyllum Boyle, l'oignon étant proportt. petit, mais long relativt. à son épaisseur, les racin. sont fort grosses. Vu sur un échantill. qu'il n'a envoyé, qui avait environ 0m05 de long sur au plus 0m015 d'épaisseur, avec écailles larges et assez minces. Je ne l'ai pas disséqué, n'ayait q. celui-là, que j'ai planté.

Cet oignon, à en juger par l'échantillon que j'ai reçu eu 1871, que j'ai cultivé en 1872 et 1873 et qui, ces 2 années, a poussé une petite tige feuillée, haute d'environ 0m20 sans fleurir, à en juger aussi par une figure peinte que n'a montrée Leichtlin, au commemt. d'août 1873, est rosé, à écailles oblongues, peu épaisses, les externes les pl. longues, long et étroit (long. = 0m030m04, larg. = envir. 0m075 au plus) beaucoup plus qui aucune autre espèce de moi comme.