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que che qui est dessoubz et trop plus que len ne sauroit
ou pourroit compter par quelque nombre que len
peust penser Car cest une chose qui en nulle manie
re ne prendra jamais ne fin ne ferme. Par quoy
je ne puis nullement entendre que nulle rien qui
soit puist pourprendre ne estimer en grandeur ne
aultrement che qui est dessus le firmament ou pa
radis pourprendt son lieu ne rempli ne poeut estre
pour riens qui soit se des biens de nostre seigneur
dieu nestoit rempli. Mais le debonnaire sires est
si tresplain de tous biens quil emplist toute aultres
choses qui doivent avoir part et merite en bien Et
le mal se depart du bien tellement que il le laisse
wit et desgarny de tous les biens quelzconcques qui
soient pareillement comme se che ne fust riens dont
len dist sur che pas que pechie nest riens pour tant
que de tous biens est wit et desgarny et rend le
corps et lame si tres debilitez et desgarnys de tous
biens et de toutes vertus et graces que lun est to
talement destruit et perissent lun avec laultre
Car tousjours vient le mal a neant. Et au con

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Marie Richards

original ms. Folio 121v
Walters ms. Folio 126v
BL Royal MS 19 A IX fols 143r-v
Caxton, ed. Prior, p 175
Gossuin, ed. Prior, 197